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La campagne 2014 est caractérisée par une « année mildiou » record. Les autres faits marquants sont : des dépérissements de plantes (Fusariose ou Verticilliose), des phénomènes de grille importants. Des dégâts de fruits dus au Didymella, parfois notables, ont été observés sur quelques parcelles alors que les symptômes globaux...

Les conditions humides, voire froides à certains stades clé de l’ail, ont favorisé l’expression des maladies fongiques dans leur ensemble avec ,en particulier, une pression significativement plus forte de la rouille.

La climatologie atypique de l’année influence également le cortège de parasites des végétaux des zones non agricoles. L’été froid et pluvieux a été favorable à l’oïdium du platane, les tigres ont profité d’une fin d’été et d’un automne très doux et la pyrale du buis poursuit son extension à tous les départements de la région.

Une campagne 2014 difficile, marquée par de nouvelles séquences climatiques atypiques. Les périodes de risque de toute la gamme des parasites des cultures maraîchères se cumulent, avec une mention spéciale pour le mildiou de l’oignon qui est à l’origine de pertes importantes en cultures.

La campagne 2014 est marquée par une attaque tardive mais importante de mildiou sur le feuillage, conjuguée à une pression localement forte de cicadelles vertes. Si l’état sanitaire des grappes restent sain jusqu’à la récolte, c’est la qualité du feuillage qui va parfois faire pénaliser la bonne maturation de la récolte. La...

Pour chaque bilan vous trouverez une description du dispositif régional d’épidémiosurveillance, le bilan climatique de l’année et le bilan sanitaire pour chaque maladie, ravageur ou plante parasite.

Pour chaque bilan vous trouverez une description du dispositif régional d’épidémiosurveillance, le bilan climatique de l’année et le bilan sanitaire pour chaque maladie, ravageur ou plante parasite.

Une campagne difficile marqué par des dégâts ponctuellement importants de mildiou mais surtout un très fort impact du botrytis favorisé par la météo très pluvieuse de la fin de l’été.

Le printemps frais a nettement ralenti la pousse de l’herbe mais les fortes pluviométries de l’été ont maintenu une croissance active jusqu’au début de l’automne. Le cortège habituel de ravageurs des prairies reste présent sur l’ensemble de la région, mais les dégâts restent ponctuels. A noter une recrudescence des attaques de...

Les conditions climatiques de l’année ont eu une forte incidence sur le développement des bio-agresseurs et favorisant d’une part de la plupart des maladies fongiques de bactériennes (tavelure, moniliose notamment) et en réduisant l’activité des lépidoptères (carpocapse, tordeuse orientale). A noter cependant, la progression des...